Certains sont surpris que je crée des accessoires (bien qu’ils peuvent convenir pour d’autres professions para et médicales) destinés aux vétérinaires pour prendre soin d’eux.
Certains s’interrogent sur les conséquences que ça pourrait avoir sur mon activité. Je ne compte plus les questions “mais tu n’as pas peur que cela te ferme des portes?”.
Et bien non ! Et je serai moins efficace dans un moule qui a le super pouvoir d’ouvrir ou fermer des portes !
Pour d’autres, c’est je cite “un travail original et trop stylé” : finalement c’est un bon résumé de ce que sont mes calots !
J’ai abordé ce point récemment sur les réseaux sociaux, mais je vais développer un peu plus dans cet article.
Amis véto, voici pourquoi le lapin œuvre pour vous !
Prendre soin des vétérinaires pour les soutenir dans leur pratique
Je le disais récemment sur Instagram et Facebook, j’ai envie de prendre soin des vétérinaires en particulier par amour des animaux. Non pas que les véto soient des animaux (oui je devais le dire!)! Mais en tant qu’humaine de compagnie pendant des années, j’ai appris à aimer et surtout respecter les animaux, quels qu’ils soient. C’est ainsi, qu’en commençant mon activité de couture, j’ai voulu intégrer cela à mon entreprise. Parce que je suis convaincue qu’en prenant soin des véto, ils seront plus efficaces pour aider au quotidien nos amis à poils, plumes ou écailles.
Alors, je suis persuadée qu’en écoutant les difficultés quotidiennes du soignant, et en prenant en compte ses attentes, il se sentira mieux dans son travail. Il sera alors plus disponible à son tour pour apporter du bien être aux animaux dont il s’occupe.
Mes produits peuvent convenir pour d’autres professions médicales. Mais j’ai choisi de me concentrer sur les vétérinaires car peu de choses existent spécifiquement pour cette branche médicale.
Soutenir les vétérinaires
J’ avais évoqué les difficultés des vétérinaires dans l’article d’avril : Mal être chez les vétérinaires.
Depuis le temps que je me renseigne sur ce sujet, que j’en parle autour de moi avec des personnes proches ou dans le milieu vétérinaire, je me rends compte à quel point leur stress devient chronique et tabou. Déjà pendant leurs études, les futurs vétérinaires ne parlent pas de leur mal être, de leur fatigue. Ils prennent l’habitude de vivre avec le stress, et de ne pas prendre soin d’eux.
Si ce sujet vous intéresse et que vous ne voulez pas prendre le temps de vous informer plus longuement, je vous recommande vivement de regarder le reportage d’Arte de la série Regards : Vétérinaires au bord du burn-out
J’espère apporter un peu de soutien pour ces professionnels de la santé animale pour lesquels j’ai un profond respect. Et je conclus en précisant que si besoin, il existe des soutiens, comme l’association Vétos entraide, par des vétérinaires pour des vétérinaires.
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